3 août 2020
30 juillet Françoise, et des jésuites comme s'il en pleuvait
Très chaud devant. Malgré le relâchement estival, j'ai mis mon point d’honneur à assurer la parution bimensuelle. J’aurais pu sans doute aussi bien publier un mot le 1er août. J'aurais mieux fait: une surchauffe de mes neurones m'a fait prendre le 31...